Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Saint-Etienne-du-Bois reçue à l'évêché entre 1862 et avril 1868.
Contenu :
1862
- 27 août, lettre de M. GOUBANT qui, après la vente d’une maison et d’un jardin légués à la fabrique, demande à l’évêque de fixer les obligations de la fabrique envers le testateur défunt.
- 2 septembre, lettre de M. GOUBANT qui communique à l’évêque une copie du testament de Pierre BONNIN : « Je crois que deux grand’messes de fondation à perpétuité seront bien suffisantes pour le profit que la fabrique en retirera ».
1866
- 23 mars, lettre de M. GOUBANT qui fait savoir à l’évêque qu’il accepte de se séparer de M. POIRAUD, l’un de ses vicaires : « ce changement même pourra lui faire du bien : il est bon qu’il soit moins heureux ».
- 23 mars, lettre de M. GOUBANT qui propose à l’évêque un arrangement pour le legs fait en faveur de la fabrique par Marie-Anne BOBINET, épouse MORANDEAU.
1868
- 22 janvier, lettre de M. GOUBANT qui demande à l’évêque la réduction des charges du legs de la dame MORANDEAU, « le trésorier… ayant encaissé, ces jours derniers, la somme de 1719,54 Fr au lieu de celle de 4449,75 léguée par ladite testatrice ».
- 1er avril, lettre de M. GOUBANT qui consulte l’évêque pour le placement des fonds recueillis de la succession de la dame MORANDEAU (vues 10-11).
- 27 août, lettre de M. GOUBANT qui, après la vente d’une maison et d’un jardin légués à la fabrique, demande à l’évêque de fixer les obligations de la fabrique envers le testateur défunt.
- 2 septembre, lettre de M. GOUBANT qui communique à l’évêque une copie du testament de Pierre BONNIN : « Je crois que deux grand’messes de fondation à perpétuité seront bien suffisantes pour le profit que la fabrique en retirera ».
1866
- 23 mars, lettre de M. GOUBANT qui fait savoir à l’évêque qu’il accepte de se séparer de M. POIRAUD, l’un de ses vicaires : « ce changement même pourra lui faire du bien : il est bon qu’il soit moins heureux ».
- 23 mars, lettre de M. GOUBANT qui propose à l’évêque un arrangement pour le legs fait en faveur de la fabrique par Marie-Anne BOBINET, épouse MORANDEAU.
1868
- 22 janvier, lettre de M. GOUBANT qui demande à l’évêque la réduction des charges du legs de la dame MORANDEAU, « le trésorier… ayant encaissé, ces jours derniers, la somme de 1719,54 Fr au lieu de celle de 4449,75 léguée par ladite testatrice ».
- 1er avril, lettre de M. GOUBANT qui consulte l’évêque pour le placement des fonds recueillis de la succession de la dame MORANDEAU (vues 10-11).