Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Saint-Malo-du-Bois reçue à l'évêché entre 1879 et janvier 1886.
Contenu :
1879
- 11 mai, délibération du conseil de fabrique qui, considérant que l’ancienne église « n’a été ni aliénée ni abandonnée à la commune comme bien national ni n’a cessé d’être affectée au service du culte…, croit que la fabrique est seule vraie propriétaire des matériaux de ladite ancienne église ».
- 8 juin, lettre du maire qui propose au curé et aux membres du conseil de fabrique « la cession, par la fabrique paroissiale des matériaux de l’ancienne église, pour lesquels matériaux être employés à la reconstruction de l’école des filles aux lieux et place de l’ancienne église ou sur le terrain communal l’avoisinant ».
- 9 juin, lettre de M. PICHAUD qui demande à l'évêque l’autorisation de réunir, deux ou trois fois, le conseil de fabrique aux fins de délibérer sur la proposition faite par le maire.
1881
25 février, lettre de M. PICHAUD qui s’inquiète auprès du vicaire général des emprunts faits par sous-seings privés par la fabrique en 1869 : « D’après une nouvelle loi, que je ne connais pas, on dit que les emprunts faits sans les formalités légales seront condamnés à une forte amende ».
1886
- 13 janvier, lettre de M. DAVID, curé, qui prie l’évêque d’autoriser la fabrique à contracter un emprunt au Crédit foncier : « Le conseil, à l’unanimité, a reconnu l’absolue nécessité de terminer notre église ».
- 31 janvier, délibération du conseil de fabrique qui décide de contracter un emprunt de 35.000 Fr qui seront employés à faire placer des vitraux dans le chœur, trois autels, une table de communion, des stalles, un confessionnal et une chaire (vues 10-12).
- 11 mai, délibération du conseil de fabrique qui, considérant que l’ancienne église « n’a été ni aliénée ni abandonnée à la commune comme bien national ni n’a cessé d’être affectée au service du culte…, croit que la fabrique est seule vraie propriétaire des matériaux de ladite ancienne église ».
- 8 juin, lettre du maire qui propose au curé et aux membres du conseil de fabrique « la cession, par la fabrique paroissiale des matériaux de l’ancienne église, pour lesquels matériaux être employés à la reconstruction de l’école des filles aux lieux et place de l’ancienne église ou sur le terrain communal l’avoisinant ».
- 9 juin, lettre de M. PICHAUD qui demande à l'évêque l’autorisation de réunir, deux ou trois fois, le conseil de fabrique aux fins de délibérer sur la proposition faite par le maire.
1881
25 février, lettre de M. PICHAUD qui s’inquiète auprès du vicaire général des emprunts faits par sous-seings privés par la fabrique en 1869 : « D’après une nouvelle loi, que je ne connais pas, on dit que les emprunts faits sans les formalités légales seront condamnés à une forte amende ».
1886
- 13 janvier, lettre de M. DAVID, curé, qui prie l’évêque d’autoriser la fabrique à contracter un emprunt au Crédit foncier : « Le conseil, à l’unanimité, a reconnu l’absolue nécessité de terminer notre église ».
- 31 janvier, délibération du conseil de fabrique qui décide de contracter un emprunt de 35.000 Fr qui seront employés à faire placer des vitraux dans le chœur, trois autels, une table de communion, des stalles, un confessionnal et une chaire (vues 10-12).