Prieuré de Magot : permission au sieur Pelletier, abbé de Magot, de couper une petite futaie (1770). Prieuré de Marçay : visite des bois et bâtiments du prieuré à la requête du prieur, le sieur Jardel (1781) ; délivrance de 707 baliveaux au prieur, le sieur de Lartige (1783). Prieuré de Sainte-Croix de Mauzé : arrêt du Conseil d'État, du 8 juillet 1773, qui autorise les Feuillants de Poitiers à faire défricher un arpent de bois attenant à leur prieuré de Mauzé et à en faire couper les baliveaux. Prieuré de Montazay : arrêts du Conseil d'État, du 30 juillet 1726, qui autorise la vente de 300 pieds d'arbres pour en employer le prix aux réparations à faire aux bâtiments, conformément à la visite du 25 mars 1726, et à la construction d'un dortoir en y ajoutant le montant de la dot de 3 religieuses, du 14 juillet 1772, qui permet aux religieuses de Montazay de faire couper par recepage un canton de bois incendié, sis près du couvent dont est prieure madame de Saint-Garault ; arpentement des coupes de bois du prieuré, contenant en totalité 109 arpents. Prieuré de Saint-Maixent de Pamprou : procès-verbal de René de Massougne, écuyer, seigneur de la Cantonnière, maître particulier des Eaux et forêts de Poitiers, portant que s'étant transporté à Pamprou pour faire l'arpentement des bois, il a été informé par M. de Courcy, agent de l'abbé de Saint-Maixent, que cette opération avait été exécutée en 1735 par la maîtrise de Niort, ce dont il se pourvoit devant le Conseil d'État (1745). Prieuré de Pirelay : arpentement général des bois contenant 48 arpents et fixation du quart en réserve ; visite de ces bois (1750) ; arrêt du Conseil d'État, du 4 octobre 1788, qui autorise Louis Dubois, curé de Chiché, à disposer de deux petits cantons de bois pour en employer le prix aux réparations du prieuré réuni récemment à sa cure. Prieuré de la Puye : visite, arpentement et plan des bois (1730-1789). Prieuré de Saint-Maixent-le-Petit : plan des bois contenant 64 arpents, fixation du quart en réserve et division des coupes (1755). Prieuré de Saint-Lambert et Saint-Martin-du-Fouillou : permission au prieur, le sieur Vaugelade, de couper 60 arbres épars (1768). Prieuré de Saint-Maurice : règlement et arpentement des bois contenant 47 arpents (1761). Prieuré de Saint-Thibaut : visite des bois (1759) ; arrêt du Conseil d'État, du 27 mai 1760, qui permet au prieur, Jean-Jacques Girodias, de disposer d'un bouquet de futaie et de 100 pieds de chênes épars sur ses terres, pour les réparations du prieuré dont le revenu n'est que de 200 livres par an.