Document d'archives : 1728-1784

Contenu :

Abbaye des Fontenelles : plan des bois de l'abbaye, XVIIe siècle. Abbaye de Fontevrault : arrêt du Conseil d'État, du 26 août 1783, qui autorise Julie-Sophie-Gillette de Pardailhan d'Antin, abbesse de Fontevrault, à faire abattre des futaies dépendant de la métairie de la Pouraire, paroisse de Chiché, pour en employer le produit aux réparations de l'abbaye. Abbaye de la Réau : arpentement général et plan des bois de l'abbaye en 1735 ; arrêt du Conseil d'État, du 5 mai 1750, fixant quel doit être le quart des bois mis en réserve et séparant les trois autres quarts en coupes de 25 ans chacune ; requête des religieux de la Réau au procureur du Roi de la maîtrise pour qu'il ordonne aux riverains du Clain de faire le curage de cette rivière depuis le pont de Pressac jusqu'au bourg de Saint-Martin-l'Ars ; arrêt du Conseil d'État, du 13 septembre 1757, portant que le produit des coupes des bois taillis de l'abbaye sera employé aux réparations ou constructions indiquées par les religieux, et parmi lesquelles se trouve un chartrier voûté adhérent au mur de face de l'église, de 12 pieds 6 pouces de largeur, avec une croisée ; arrêts du Conseil d'État : du 20 juin 1767, qui autorise Étienne Fournier, prieur de Notre-Dame de Bellenoue, dépendance de l'abbaye de la Réau, à couper deux lisières de futaies pour les réparations de son prieuré, du 15 mars 1768, qui permet aux religieux de la Réau de faire couper des bois dépendant des cantonnements de leur prieuré de l'Habit-Beaumont, pour satisfaire aux réparations de celui-ci, du 2 mars 1784, les autorisant à vendre 47 arpents de bois en réserve pour les réparations de l'abbaye. Abbaye de Lieu-Dieu-en-Jart : arrêt du Conseil d'État, du 13 août 1771, qui autorise le collège des Prémontrés de Paris, auquel a été unie l'abbaye de Jart, à faire une coupe dans ses bois pour rétablir la couverture de la ferme de Lieu-Dieu, emportée par un ouragan ; règlement des bois de l'abbaye (1760). Abbaye de Moreaux : procès-verbal de visite de l'abbaye faite à la requête de l'abbé René de Carman par le sieur Vangine le jeune, architecte, indiquant des réparations à exécuter au clocher, à l'église, à la chapelle et au cul-de-four (1728) ; arrêts du Conseil d'État : du 24 avril 1736, qui autorise Charles de Maillé de Carman, oncle du précédent abbé, à vendre des futaies pour les réparations de l'abbaye, et du 9 décembre 1738, qui décharge l'abbé des amendes encourues par lui pour avoir coupé des bois sans autorisation ; arpentage des bois en 1759 ; arrêts du Conseil d'État : du 30 juin 1767, qui, sur la plainte de l'abbé Louis de Fressac, de ce qu'il a trouvé l'abbaye dans un délabrement complet, et que la succession de son prédécesseur est abandonnée, l'autorise à toucher 1 200 livres provenant des anciennes ventes de bois et qui se trouvent entre les mains du receveur général du Poitou, pour les employer à diverses réparations et entre autres au relevage du pavé de l'église, et du... 1773, qui permet à l'abbé René-François Bruno, vicaire général d'Angoulême et doyen de la Sainte-Chapelle de Champigny, de couper les bois en réserve pour réparer la maison abbatiale ; plan des bois de l'abbaye.

Cote :

B 125

Description physique :

Description physique: 61 pièces, papier ; 3 plans

Liens