Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Saint-Sulpice-en-Pareds reçue à l'évêché entre 1862 et 1863.
Contenu :
1862
- 29 janvier, lettre de M. BOURASSEAU, curé, qui indique à l'évêque les réparations à faire à l'église : « Pour payer ces différentes réparations, la somme de 4000 Fr est nécessaire. J'en ai la moitié, Votre Grandeur voudrait-elle me permettre d'emprunter le reste ? ».
- 15 février, lettre du curé de La Châtaigneraie qui, après avoir fait la visite de l'église de Saint-Sulpice, prie l'évêque d'accéder à la demande du curé : « c'est un autel en pierre qu'il se propose de faire construire et il sera en rapport avec le style de l'église qui est du 15e siècle », accompagnée d’un post-scriptum détaillant les dépenses liées à la construction (vues 3-5).
- 22 mai, lettre de M. BOURASSEAU qui informe l'évêque que le religieux qui se propose de faire don d'une pièce de terre à l'église et aux curés successifs de Saint-Sulpice trouve insuffisante la somme de 25 Fr à verser annuellement à la fabrique fixée par l'évêque.
1863
- 15 mars, lettre de M. de CHATEAUBRIAND, propriétaire du château de Saint-Sulpice, à l’évêque le renseignant sur l’affaire de la rente de quelques boisseaux de blé payée indument aux acquéreurs de la cure de La Caillère.
- Lettre de M. de CHATEAUBRIAND à l’évêque lui transmettant copie d’une lettre du sous-préfet de Fontenay adressée aux membres de la fabrique au sujet de la réunion projetée des communes de Cezais et Saint-Sulpice-en-Pareds ; avec plan des deux communes (vues 12-17).
- 19 mai, lettre de M. BOURASSEAU qui prie l'évêque d'user de son autorité pour interdire « de rien déposer contre le mur de l'église, du côté de la route et surtout vis-à-vis le sanctuaire qui est très humide ».
- 29 mai, lettre de M. BOURASSEAU qui informe l'évêque que le religieux qui a fait don d'une pièce de terre aux curés successifs de Saint-Sulpice « a porté dans l'acte le revenu de cette même pièce de terre à 50 Fr. Or mon trésorier… considère qu'on ne peut porter ce revenu à moins de 70 Fr ».
- 27 juin, lettre de M. de CHATEAUBRIAND à l’évêque lui rappelant les bienfaits de la présence de Sœurs dans une paroisse et lui demandant par conséquent l’autorisation de la venue de deux Sœurs dans la paroisse.
- 24 août, lettre de M. de CHATEAUBRIAND à l’évêque lui demandant, si la rente fut due à La Caillère, l’autorisation de fonder un « petit établissement religieux » à Saint-Sulpice et non à La Caillère comme l’évêque l’eut cru (vues 24-26).
- 29 janvier, lettre de M. BOURASSEAU, curé, qui indique à l'évêque les réparations à faire à l'église : « Pour payer ces différentes réparations, la somme de 4000 Fr est nécessaire. J'en ai la moitié, Votre Grandeur voudrait-elle me permettre d'emprunter le reste ? ».
- 15 février, lettre du curé de La Châtaigneraie qui, après avoir fait la visite de l'église de Saint-Sulpice, prie l'évêque d'accéder à la demande du curé : « c'est un autel en pierre qu'il se propose de faire construire et il sera en rapport avec le style de l'église qui est du 15e siècle », accompagnée d’un post-scriptum détaillant les dépenses liées à la construction (vues 3-5).
- 22 mai, lettre de M. BOURASSEAU qui informe l'évêque que le religieux qui se propose de faire don d'une pièce de terre à l'église et aux curés successifs de Saint-Sulpice trouve insuffisante la somme de 25 Fr à verser annuellement à la fabrique fixée par l'évêque.
1863
- 15 mars, lettre de M. de CHATEAUBRIAND, propriétaire du château de Saint-Sulpice, à l’évêque le renseignant sur l’affaire de la rente de quelques boisseaux de blé payée indument aux acquéreurs de la cure de La Caillère.
- Lettre de M. de CHATEAUBRIAND à l’évêque lui transmettant copie d’une lettre du sous-préfet de Fontenay adressée aux membres de la fabrique au sujet de la réunion projetée des communes de Cezais et Saint-Sulpice-en-Pareds ; avec plan des deux communes (vues 12-17).
- 19 mai, lettre de M. BOURASSEAU qui prie l'évêque d'user de son autorité pour interdire « de rien déposer contre le mur de l'église, du côté de la route et surtout vis-à-vis le sanctuaire qui est très humide ».
- 29 mai, lettre de M. BOURASSEAU qui informe l'évêque que le religieux qui a fait don d'une pièce de terre aux curés successifs de Saint-Sulpice « a porté dans l'acte le revenu de cette même pièce de terre à 50 Fr. Or mon trésorier… considère qu'on ne peut porter ce revenu à moins de 70 Fr ».
- 27 juin, lettre de M. de CHATEAUBRIAND à l’évêque lui rappelant les bienfaits de la présence de Sœurs dans une paroisse et lui demandant par conséquent l’autorisation de la venue de deux Sœurs dans la paroisse.
- 24 août, lettre de M. de CHATEAUBRIAND à l’évêque lui demandant, si la rente fut due à La Caillère, l’autorisation de fonder un « petit établissement religieux » à Saint-Sulpice et non à La Caillère comme l’évêque l’eut cru (vues 24-26).