Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Saint-Etienne-du-Bois reçue à l'évêché entre 1880 et ocotbre 1881.
Contenu :
1880
- 18 janvier, lettre de M. GELINEAU qui communique à l’évêque la délibération du 28 décembre 1879 du Bureau des marguilliers qui accepte provisoirement le don d’un titre de rente 3% fait par M. GELINEAU à la cure et aux curés successifs de Saint-Etienne, et le prie de « rendre une ordonnance qui puisse garantir pour l’avenir la conservation de ce titre » (vues 23-25).
- 19 février, lettre de M. GELINEAU qui remercie l’évêque d’avoir fait une visite au couvent et lui fait savoir qu’il serait bon que la fabrique acceptât immédiatement le legs de la veuve PRAUD.
- 22 octobre, lettre de M. GELOT, vicaire, qui donne à l’évêque les renseignements demandés concernant le boisselage : « le maximum de ce boisselage ainsi divisé en deux est tout au plus de 210 à 250 francs ».
- 5 novembre, lettre de M. CHAIGNON qui remercie l’évêque de « vouloir bien maintenir libre l’école de nos bonnes religieuses de Chavagnes… Notre pauvre institutrice laïque…, malgré son zèle et l’appui de la municipalité, n’a pu encore recruter que sept élèves », sont 4 enfants de l’Assistance publique.
1881
- 30 août, lettre du maire qui fait savoir à l’évêque qu’il attend toujours les comptes de gestion de la fabrique pour les années 1878 à 1880 qu’il a réclamés au trésorier.
- 5 octobre, lettre du maire qui demande à l’évêque de « vouloir bien faire comprendre à M. GELINEAU que l’église est un bâtiment communal et que les élèves de l’école communale y ont au moins les mêmes droits que les élèves de l’école libre ».
- 8 octobre, copie de la réponse de l’évêque qui fait savoir au maire, que l’église étant insuffisante, il doutait beaucoup qu’on puisse y réserver des places pour les élèves de l’école communale.
- 17 octobre, lettre du maire qui informe l’évêque qu’il est disposé à rendre publiques les lettres échangées entre le curé et lui au sujet des places à réserver dans l’église aux élèves de l’école communale : « M. le curé… veut du tapage autour de son nom ? Il est bien facile de le satisfaire ! »
- Etat de l’actif et du passif de la paroisse (vues 42-43).
- 18 janvier, lettre de M. GELINEAU qui communique à l’évêque la délibération du 28 décembre 1879 du Bureau des marguilliers qui accepte provisoirement le don d’un titre de rente 3% fait par M. GELINEAU à la cure et aux curés successifs de Saint-Etienne, et le prie de « rendre une ordonnance qui puisse garantir pour l’avenir la conservation de ce titre » (vues 23-25).
- 19 février, lettre de M. GELINEAU qui remercie l’évêque d’avoir fait une visite au couvent et lui fait savoir qu’il serait bon que la fabrique acceptât immédiatement le legs de la veuve PRAUD.
- 22 octobre, lettre de M. GELOT, vicaire, qui donne à l’évêque les renseignements demandés concernant le boisselage : « le maximum de ce boisselage ainsi divisé en deux est tout au plus de 210 à 250 francs ».
- 5 novembre, lettre de M. CHAIGNON qui remercie l’évêque de « vouloir bien maintenir libre l’école de nos bonnes religieuses de Chavagnes… Notre pauvre institutrice laïque…, malgré son zèle et l’appui de la municipalité, n’a pu encore recruter que sept élèves », sont 4 enfants de l’Assistance publique.
1881
- 30 août, lettre du maire qui fait savoir à l’évêque qu’il attend toujours les comptes de gestion de la fabrique pour les années 1878 à 1880 qu’il a réclamés au trésorier.
- 5 octobre, lettre du maire qui demande à l’évêque de « vouloir bien faire comprendre à M. GELINEAU que l’église est un bâtiment communal et que les élèves de l’école communale y ont au moins les mêmes droits que les élèves de l’école libre ».
- 8 octobre, copie de la réponse de l’évêque qui fait savoir au maire, que l’église étant insuffisante, il doutait beaucoup qu’on puisse y réserver des places pour les élèves de l’école communale.
- 17 octobre, lettre du maire qui informe l’évêque qu’il est disposé à rendre publiques les lettres échangées entre le curé et lui au sujet des places à réserver dans l’église aux élèves de l’école communale : « M. le curé… veut du tapage autour de son nom ? Il est bien facile de le satisfaire ! »
- Etat de l’actif et du passif de la paroisse (vues 42-43).