Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Chantonnay reçue à l'évêché entre 1878 et 1881.
Contenu :
1878
- 18 juin, lettre de M. BRANCHEREAU, curé, à l’évêque sur le projet de la fabrique tendant à l’organisation d’un service régulier de pompes funèbres.
- 13 juillet, lettre de M. BRANCHEREAU, curé, à l’évêque : « L’administration municipale de Chantonnay a l’intention d’ouvrir notre nouveau cimetière dans le courant de la semaine prochaine ».
- 4 novembre, lettre de M. BRANCHEREAU qui informe l’évêque que : « l’autorité municipale de Chantonnay veut entreprendre une nouvelle campagne contre les droits et les intérêts de mon église ». Le maire et la Société de secours mutuels souhaitent acquérir un corbillard et remplaceraient ainsi la fabrique en ce qui concerne le transport des corps par voiture.
- 10 novembre, copie de la lettre de M. BRANCHEREAU au préfet, au sujet d’une liste d’enfants, devant être admis gratuitement dans les écoles laïques de garçons et de filles, contestée par le curé (vues 9-11).
- 6 décembre, lettre de M. BRANCHEREAU qui informe le vicaire général de l’intention de plusieurs conseillers municipaux « d’accorder le bénéfice de la gratuité, sur une vaste échelle », aux familles qui confient leurs enfants aux écoles laïques.
1881
3 novembre, lettre M. BIBARD, curé, au vicaire général : « Le supérieur de Saint-Gabriel réclame les deux mille francs pour les frères seuls. Ses prétentions sont contraires à ce qui avait été dit jusque-là ». Le curé demande donc au vicaire de faire entendre raison au supérieur de Saint-Gabriel (vues 15-16).
- 18 juin, lettre de M. BRANCHEREAU, curé, à l’évêque sur le projet de la fabrique tendant à l’organisation d’un service régulier de pompes funèbres.
- 13 juillet, lettre de M. BRANCHEREAU, curé, à l’évêque : « L’administration municipale de Chantonnay a l’intention d’ouvrir notre nouveau cimetière dans le courant de la semaine prochaine ».
- 4 novembre, lettre de M. BRANCHEREAU qui informe l’évêque que : « l’autorité municipale de Chantonnay veut entreprendre une nouvelle campagne contre les droits et les intérêts de mon église ». Le maire et la Société de secours mutuels souhaitent acquérir un corbillard et remplaceraient ainsi la fabrique en ce qui concerne le transport des corps par voiture.
- 10 novembre, copie de la lettre de M. BRANCHEREAU au préfet, au sujet d’une liste d’enfants, devant être admis gratuitement dans les écoles laïques de garçons et de filles, contestée par le curé (vues 9-11).
- 6 décembre, lettre de M. BRANCHEREAU qui informe le vicaire général de l’intention de plusieurs conseillers municipaux « d’accorder le bénéfice de la gratuité, sur une vaste échelle », aux familles qui confient leurs enfants aux écoles laïques.
1881
3 novembre, lettre M. BIBARD, curé, au vicaire général : « Le supérieur de Saint-Gabriel réclame les deux mille francs pour les frères seuls. Ses prétentions sont contraires à ce qui avait été dit jusque-là ». Le curé demande donc au vicaire de faire entendre raison au supérieur de Saint-Gabriel (vues 15-16).