Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Saint-Malo-du-Bois reçue à l'évêché entre 1866 et juillet 1868.
Contenu :
1866
- 31 janvier, lettre de M. PICHAUD qui informe l'évêque que le maire a obtenu de la préfecture l'autorisation d'exhumer un enfant de la Petite Eglise inhumé dans le terrain non bénit par ordre du curé, pour le faire inhumer dans le caveau de sa tante situé dans le cimetière des catholiques (vues 13-14).
- 16 octobre, lettre de M. PICHAUD qui soumet à l'évêque une formule qu'il a rédigée pour le testament d'une personne qui désire faire quelques legs pieux.
1867
- 8 novembre, lettre de M. PICHAUD qui prie l'évêque d'autoriser la fabrique à contracter un emprunt, « la dépense réelle de la construction de l'église de Saint-Malo étant plus forte que la dépense prévue au projet ».
- 17 novembre, copie du testament de Constant ARSAN, propriétaire à Saint-Malo, qui lègue à la fabrique de Saint-Malo sa métairie de la Cour de la Garnière, sise au Puy-Saint-Bonnet, à charge de 52 messes chantées et 52 messes basses par an à perpétuité.
- 31 décembre, copie du codicille du testament de M. ARSAN qui lègue à la fabrique la nue-propriété de sa maison et de son mobilier dont il laisse la jouissance à sa servante, sa vie durant.
1868
- 13 juin, lettre de M. PICHAUD qui communique à l'évêque la copie du testament de feu M. ARSAN : « Le même testateur a dicté, le 18 novembre 1867, un autre testament par lequel il lègue aux pauvres de la commune de Saint-Malo une borderie sise autour du bourg de Saint-Malo ».
- 7 juillet, lettre de M. PICHAUD qui communique à l'évêque « les pièces du dossier concernant les legs faits à la fabrique par feu M. ARSAN ».
- 11 juillet, ordonnance de l'évêque qui autorise la fabrique à accepter les legs faits en sa faveur par M. ARSAN.
- 16 juillet, lettre de M. PICHAUD qui communique à l'évêque « la sommation faite par M. le trésorier à M. Adolphe ARSAN de donner expressément son contentement ou son refus à l'exécution des testaments de son frère, M. Constant ARSAN » (vue 30).
- 31 janvier, lettre de M. PICHAUD qui informe l'évêque que le maire a obtenu de la préfecture l'autorisation d'exhumer un enfant de la Petite Eglise inhumé dans le terrain non bénit par ordre du curé, pour le faire inhumer dans le caveau de sa tante situé dans le cimetière des catholiques (vues 13-14).
- 16 octobre, lettre de M. PICHAUD qui soumet à l'évêque une formule qu'il a rédigée pour le testament d'une personne qui désire faire quelques legs pieux.
1867
- 8 novembre, lettre de M. PICHAUD qui prie l'évêque d'autoriser la fabrique à contracter un emprunt, « la dépense réelle de la construction de l'église de Saint-Malo étant plus forte que la dépense prévue au projet ».
- 17 novembre, copie du testament de Constant ARSAN, propriétaire à Saint-Malo, qui lègue à la fabrique de Saint-Malo sa métairie de la Cour de la Garnière, sise au Puy-Saint-Bonnet, à charge de 52 messes chantées et 52 messes basses par an à perpétuité.
- 31 décembre, copie du codicille du testament de M. ARSAN qui lègue à la fabrique la nue-propriété de sa maison et de son mobilier dont il laisse la jouissance à sa servante, sa vie durant.
1868
- 13 juin, lettre de M. PICHAUD qui communique à l'évêque la copie du testament de feu M. ARSAN : « Le même testateur a dicté, le 18 novembre 1867, un autre testament par lequel il lègue aux pauvres de la commune de Saint-Malo une borderie sise autour du bourg de Saint-Malo ».
- 7 juillet, lettre de M. PICHAUD qui communique à l'évêque « les pièces du dossier concernant les legs faits à la fabrique par feu M. ARSAN ».
- 11 juillet, ordonnance de l'évêque qui autorise la fabrique à accepter les legs faits en sa faveur par M. ARSAN.
- 16 juillet, lettre de M. PICHAUD qui communique à l'évêque « la sommation faite par M. le trésorier à M. Adolphe ARSAN de donner expressément son contentement ou son refus à l'exécution des testaments de son frère, M. Constant ARSAN » (vue 30).