Prieuré de Chancoutaud : permission au prieur, le sieur Châtenet, de vendre 200 pieds d'arbres accrus sur trois arpents de bois dépendant du prieuré (1765). Prieuré de la Chapelle-Bertrand : le prieur, le sieur Bonamy, est autorisé à abattre 124 pieds d'arbres et les têtards qui se trouvaient dans ses bois (1728). Prieuré de la Chapelle-Montreuil : permission au prieur, François de la Lande de Vernon, d'abattre 80 pieds d'arbres épars sur les haies pour les réparations du moulin de Briffoux ; arrêt du Conseil d'État, du 7 mai 1737, qui l'y autorise ; fixation du quart en réserve des bois du prieuré, contenant en totalité 18 arpents, faite à la requête du prieur Louis Guillemot (1788). Prieuré de Château-Bourdin : permission à Louis Brissonnet, curé de Saint-Pardoux et prieur de Château-Bourdin, de faire abattre des bois pour réparer la toiture de la chapelle du prieuré, tombée depuis plusieurs années (1714-1718). Prieuré de Château-Larcher : déclaration des bois du prieuré faite en 1730 par le prieur, le sieur Thoreau, renouvelant celle faite par son prédécesseur en 1693 ; procès-verbal de division des coupes de bois (1756) ; autorisation au prieur Jacques-René Aprix de Bonnière de disposer de son quart en réserve pour les réparations du prieuré ; le même arrente le bois du Four, contenant 30 arpents, moyennant 60 livres de rente noble et 6 deniers de cens à Gaspard de Cressac, prieur de Notre-Dame de Bernay, et à Jean Gaultier, sieur de la Croix, greffier criminel de la sénéchaussée de Poitiers (1776). Prieuré de Dive : permission au prieur, le sieur Daguerre, de couper 82 futaies dans sa coupe de l'année pour la construction de ponts en bois à Bandouille (1780). Prieuré d'Enjambes : arrêt du Conseil d'État, du 17 décembre 1737, qui permet au prieur, Louis-Joseph Porcheron, de vendre les vieux arbres futaies dépendants du prieuré pour en employer le produit à des réparations. Prieuré de Fay, paroisse de Bouresse : arpentement des bois du prieuré en 1761 ; arrêt du Conseil d'État, du 18 février 1766, qui permet au prieur de l'abbaye de Beuil, dont dépend le Fay, de couper le quart en réserve afin de construire une maison pour le colon du prieuré, qui n'est affermé que 60 livres. Prieuré de Fontmoron : plan des bois contenant en tout 67 arpents, arpentement et division des coupes (1755) ; arrêts du Conseil d'État, du 23 août 1763, qui permet au prieur, François Sorbier de Villars, d'abattre des bois pour faire des réparations et particulièrement pour la reconstruction d'une tuilerie, du 10 avril 1770, qui permet d'abattre 8 arpents de bois près de l'étang de Mongerbault pour en réparer la chaussée. Prieuré de Grandmont près Rocheservière : règlement des bois (1770). Prieuré de Grand-Chaume : arrêts du Conseil d'État, du 15 mars 1729, qui permet au prieur, Barthélemy Bardeau, de vendre la coupe de ses bois de la Bougrière pour les réparations du prieuré, des moulins, étangs et fossés, du 24 juillet 1770, qui permet au prieur, François Bardeau, de faire couper 28 arpents de bois dont le produit devra être employé aux réparations du prieuré estimées 12 000 livres.