Rétablissement de l'évêché de Marseille ; question du choix de la cathédrale, la Major ou Saint-Martin et du logement de l'évêque ; note sur l'état de la cathédrale (la Major), le palais épiscopal devenu magasin des effets militaires, l'ancien séminaire (appelé la Mission de France) aliéné pendant la Révolution et dénaturé, et le séminaire fondé à Marseille par monseigneur de Cicé, archevêque d'Aix ; note sur l'emploi des fonds du ministère pour l'installation des nouveaux évêques.

Correspondance relative aux frais qu’entraîne le rétablissement du siège épiscopal ; correspondance, devis relatifs aux réparations du palais épiscopal ; rapports au Conseil des Bâtiments civils dans ses séances du 19 juin et 25 septembre 1824 sur le palais épiscopal de Marseille ; comptes ; états des travaux faits aux établissements diocésains, 1818-1827.

Legs par le sieur Gobbet au sieur Bergier, son parent, d'un immeuble sis à Marseille à charge de rentes versées à un prêtre de Marseille pour célébrer annuellement cent messes, et de sommes versées pendant neuf ans aux frères des Écoles chrétiennes de Marseille et aux sœurs des Écoles chrétiennes de Marseille ; demande en reconnaissance légale de l'établissement des sœurs des Écoles chrétiennes de Marseille qui dépendaient de la congrégation des sœurs de Saint-Charles de Lyon, 1849-1857.

Legs de monseigneur de Mazenod, évêque décédé de Marseille : aux évêques successifs de Marseille, d'une propriété à Marseille, quartier Saint-Louis, d'une propriété à la Ciotat et de deux propriétés à Marseille ; au doyen du chapitre de la cathédrale d'objets mobiliers et à la fabrique de l'église succursale de Notre-Dame du Mont Carmel à Marseille d'une maison pour servir de presbytère ; des sommes d'argent à la supérieure générale de la congrégation des Petites sœurs des Pauvres, à la supérieure des sœurs de Notre-Dame du Refuge à Marseille, à la supérieure des Clairistes dites Capucines de Marseille, aux fabriques des églises curiales de la Ciotat, Aubagne, Roquevaire, Cuges-les-Pins, Saint-Savournin, la Penne-sur-Huveaune, Gréasque, Notre-Dame de la Major et Saint-Cannat à Marseille, aux curés des paroisses Saint-Martin, Saint-Férréol de Marseille, aux desservants des églises succursales de Saint-Théodore, Saint-Lazare, Saint-Vincent de Paul, Saint-Joseph, Saint-Adrien, Saint-Michel de Marseille, au Bureau de bienfaisance de Marseille, au maire de Marseille pour les pauvres de la ville, aux curés des paroisses Saint-Sauveur, Saint-Jérôme, Sainte-Marie-Magdeleine, Saint-Jean-Baptiste à Aix, au Bureau de bienfaisance d'Aix, à la fabrique de l'église succursale de Saint-Laurent-les-Verdon (Alpes-de-Haute-Provence) ; d'une propriété à la fabrique de l'église succursale de Saint-Vincent de Paul à Marseille, d'une chapelle à la fabrique de l'église curiale de Saint-Sébastien à Allauch, d'un terrain à Cassis à la fabrique de l'église succursale de Cassis, des terrains sur lesquels sont édifiés les églises Saint-Adrien, Saint-Mauron, Sainte-Anne et la chapelle Saint-Fortuné dans la ville de Marseille, 1861-1868.

Legs de Souza en faveur de l'évêché pour célébration de messes, 1868.

Vente d'une propriété sise quartier Saint-Julien à Marseille appartenant au séminaire diocésain (vente non réalisée), 1869.

Acquisition et échange d'un terrain au quartier de la Madrague à Marseille pour établir une chapelle de secours sous le vocable de Saint-Trophime, 1870.

Legs Pichaud consistant en une somme de dix mille francs en faveur de l'évêque de Marseille pour la construction d'un autel artistique et monumental dans la chapelle Notre-Dame de la Garde, de diverses sommes pour les Conférences Saint-Vincent- de Paul de Marseille, pour le curé de Saint-Charles de Marseille, pour le Père supérieur de l'établissement des frères de Saint-Jean-de-Dieu de Marseille, 1869-1873.

Legs par la demoiselle Rougier à l'évêque de Marseille d'un immeuble avec ses dépendances à charge d'en employer les revenus au soulagement des prêtres pauvres ou infirmes du diocèse et à l'éducation des jeunes gens se destinant à l'état ecclésiastique, au curé de la paroisse Saint- des Récollets pour une fondation de messes, à la supérieure des dames de la Retraite et aux sœurs de Sainte-Marthe, 1872-1874.

Legs Giraud en faveur de l'évêque de Marseille d'une somme de seize mille francs destinée à l'Oeuvre des séminaires, 1878.