Guainville. Aveux et dénombrements, actes de foi et hommage du fief du château ou de la Sergenterie de Guainville présentés aux seigneurs de Breval : à Louis de Navarre, comte de Beaumont-le-Roger, seigneur d'Anet, de Breval et de Montchauvet, par Pierre de Guainville ; au Roi, à cause de son château de Breval, par Jean de Guainville : « Item, doit avoir mes de mariaige es dictes villes et deppendances d'icelle, c'est assavoir d'iceulx qui sont couchans et levans soubz le Roy et soubz Iuy, en la manière acoustumée, et ungs gans pour quérir le cheval à amegner ou fere amegner l'espousée au moustier ; » à Pierre de Brézé, seigneur de Breval, par Perrette et par Alix de Guainville, filles et héritières de Jean de Guainville ; à Louis de Brézé, par Denis Coup-de-Vilain ; par Jeanne de Mesauquel ; par Jean et par Édouard Coup-de-Vilain ; par Simon Sergent et par Étiennette, sa femme, héritière d'Édouard Coup-de-Vilain ; par Michel Sergent et par Marguerite Coup-de-Vilain, sa femme ; acte de souffrance accordée à Jean, à Marion et à Jeanne Brosses, enfants mineurs d'André Brosses et de Jacqueline Sergent ; procédures faites à la requête de la marquise de Thiange, dame de Breval, contre Guillaume Chrétien Des Landes, au sujet de l'aveu du fief de la Sergenterie de Guainville.

E 2310

Papiers de famille