Document d'archives : 1503-1599

Date : 1503 - 1599

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Contenu :

Acquisition d'une rente de 20 florins de Jeanette, veuve de Claude Béraud et de son fils (7 novembre 1503).
Arrangement avec le curé de Mogneneins pour la perception de la dîme à Baneins (1506).
Extraits de reconnaissances passées par divers sur diverses terres propriétés des prêtres sociétaires (1506).
Arrangement pour la perception des droits sur le moulin Gisset (21 mai 1519).
Vente d'une rente de 4 florins annuels due par les seigneurs d'Espey (25 mai 1521). Cette rente hypothéquée sur le pré de la Thiclas de la grange du Basque.
Cense de la dîme de Murillard, en la paroisse d'Illiat, passée pour 3 ans, à raison de 13 florins l'an (11 juin 1524).
Vente d'une rente de 3 florins annuels sur le pré de Pierre Verrier (1536).
Reconnaissance d'un servis dû sur une seytérée de vigne située à Buenans par Jean et François Abert (20 février 1533).
Copie d'une fondation de messes faite le 18 avril 1533 par Philibert Collier pour le prix annuel de 6 gros de Savoie (9 janvier 1547). Cette copie sert à vérifier le droit de directe au lieudit l'Estalla des Mayet.
Achat auprès d'Etienne de Granges et d'Amand Verney, son gendre, marchands de Châtillon, de 6 gros de pension perpétuelle et annuelle dus sur un pré et un chenevière à Fleurieux (12 juillet 1535).
Achat auprès d'Etienne de Granges et d'Amand Verney, son gendre, marchands de Châtillon, de 7 florins de pension perpétuelle et annuelle dus sur un pré et une chenevière près la Fontaine du Vivier à Fleurieux (12 juillet 1535).
Vente par Guichard Rolichon et Léonarde, sa femme, d'une pension annuelle de 10 florins et 3 quarts monnaie de Savoie sur un pré et une terre à Gravel (23 septembre 1538).
Acte de la fondation de la fête de Saint-Joseph, créée en l'église Saint-André de Châtillon par Claude Escoffier, sociétaire et curé de cette église, au prix d'une rente annuelle de 5 florins 2 sols et de 12 coupes de froment chaque année (16 mars 1540). "Nota que pour cette fondation on fait premièrement l'aspersion d'eau beniste disant asperges me Domine En faysant laquelle aspersion seront les diacres et soubdiacres revestuz des plus belles tunicques [... ] en suitte on fait la procession au dehors à l'entour de l'esglise chantant trois respons de Saint-Joseph, le premier finissant quand on est vis-à-vis la chapelle Cortois, le second finissant vis-à-vis la petite porte et le troisième dans l'église ; après on dit Inviolata puis ora et l'oraison Concede nos. Après la messe à diacre et soubs-diacre on dit le de profundis et l'oraison inclina au pluriel, et pour les prebstres deus cujus miserationes et fidelium deus. Les pains qu'on distribue sont de 36 onces chascun : on en donne 3 au célébrant, 3 au diacre, 3 au soub-diacre, 3 à chaque chappier, 3 au tenant chœur, 3 au receveur de l'esglise, 2 aux sociétaires, 1 aux prebstres habitués, 1 aux aultres clercs et enfants de chœur ; au sonneur 2 pains et 5 sols, au Roy s'il est à 14 lieues de Chastillon 4 pains, au greffier un, aux deux scindics chascun un, au secretaire de l'eglise un, et au bolanger un. Le reste aux pauvres".
Fondation d'une pension annuelle de 8 florins 3 gros par Jean Gauthier (4 juillet 1542). "Nota qu'il faut dire sur son tombeau qui est proche le grand bénitier, trois respons ; le premier credo quod redemptor et l'oraison Deus qui inter apostolicos sacerdotes ; le second induta est caro mea avec l'oraison Deus veniae largitor ; le troisième memento mei Deus avec l'oraison Deus cujus memoratione. Et en suitte on dit Salve Regina avec le verset ora et l'oraison concede nos".
Bail au profit de Vincent Girié de la dîme de Vanens, consistant en graines, vin et autres (30 mai 1545).
Transaction pour la dîme de Vanens (Saint-Didier-sur-Chalaronne) entre le chapitre de Saint-Nizier de Lyon, le prébendé de l'église de Saint-Didier en Dombes et les sociétaires de l'église de Châtillon (20 mai 1569).
Reconnaissance de 5 florins de pension annuelle dus aux sociétaires de Châtillon par demoiselle Sylvie Charlet (20 juin 1572).
Reconnaissances de pension de 10 florins par les frères Villiardier ; de 6 florins par Claude Villiardy ; de 5 florins par Jean Collet dit Buydoz ; par Jean Grandpierre, par Jean Beynier, Claude Brunet, etc. (1573-1599).