Gérard Moreau est interrogé sur le bilan qu'il fait de cette période. Il se félicite que le secteur associatif ait survécu pendant sa période d'activité à la DPM et que le budget du FAS ait été maintenu. Il évoque les résistances qu'il a rencontré dans son action. Il raconte les expériences qu'il a tenté pour prendre en compte les diversités des migrations tout en n'acceptant pas toutes les différences, avec l'exigence de réconcilier l'individualité avec une forme de solidarité. Il décrit le phénomène migratoire comme un phénomène permanent avec des questions qui se poseront toujours. Son bilan selon lui est faible, mais il conserve la fierté d'avoir mis en place la cérémonie d'accueil dans la citoyenneté française.