Prieuré de l'Habit-Beaumont : arpentement des bois (1761). Prieuré de Notre-Dame de Jouhet : délivrance par les officiers de la maîtrise de Poitiers au prieur, l'abbé de Thézac d'Armentières, de 8 boisselées de bois et de 13 chênes pour en employer le produit aux réparations du prieuré, à l'ensemencement des places vaines des bois et à la clôture des fossés (1761-1765). Prieuré de Lanville : arrêts du Conseil d'État, du 3 juillet 1729, qui autorise le prieur, Frédéric-Jérôme Roger de la Rochefoucault, à faire couper à blanc sa garenne, contenant 18 arpents, pour en employer le produit aux réparations du logis prieural où logent quatre religieux, et de la sacristie, et à faire enclore la garenne de murs, du 11 août 1739, qui permet aux religieux de disposer comme bon leur semble du bois d'une petite île de 12 à 14 journaux ; procès-verbaux des officiers de la maîtrise contre les religieux qui n'ont pas ensemencé leurs bois, les font servir de pacage aux bestiaux, etc. (1749). Prieuré de Laverré : état des bois du prieuré (1721) ; délivrance de 160 arbres au prieur, Bouchier de Cordelas, pour qu'il fasse enclore le terrain de fossés et le fasse semer, avec permission d'employer le surplus aux réparations (1761). Prieuré de Lezay : déclaration du prieur, Hilaire Laurenceau, portant qu'il dépend de son prieuré 20 arpents de bois, sis au lieu du Breuil et de Tranches (1730). Prieuré de Ligugé : arpentement général des bois du prieuré, contenant 275 arpents, et fixation du quart en réserve (1725) ; arrêts du Conseil d'État, du 7 août 1725, déclarant qu'un quart des bois restera en futaie et que les trois autres quarts seront divisés en coupes de vingt-cinq ans, du 28 janvier 1738, qui permet aux Jésuites de Poitiers, titulaires de ce prieuré, de couper les baliveaux qui sont dans les taillis au-dessus de quarante ans au fur et à mesure des coupes, du 26 novembre 1754, qui permet de disposer pour les réparations de 78 arpents de bois du quart en réserve ; visite de la chaussée du moulin de Ligugé (1746) ; devis des réparations à faire au collège du Puygarreau et au prieuré de Ligugé : réfection des couvertures de l'église du collège et des deux clochers, des confessionnaux, des marchepieds des autels, des vitraux, etc., réparations au principal corps de logis, à celui du recteur et au grand dôme, aux classes et salles des actes publics, au corps de logis des régents au-dessus des six classes, au logis du Puygarreau ou maison des pensionnaires, au prieuré de Ligugé, au bac du Port-Seguin, à la chaussée du moulin et à une maison de garde à Raboué. Prieuré de Longefond : arrêts du Conseil d'État, du 4 novembre 1766 et du 15 décembre 1767, qui permettent aux religieuses d'abattre une futaie de 26 arpents pour les réparations du prieuré et de la métairie de Chezeau-Chrestien.