Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Saint-Etienne-du-Bois reçue à l'évêché entre 1848 et 1852.
Contenu :
1848
10 août, lettre de M. BOUANCHAUD qui demande à l’évêque la date à laquelle il souhaite venir visiter la chapelle de La Tulévrière.
1851
28 décembre, lettre de M. GOUBANT, curé, qui informe l’évêque que le receveur de l’Enregistrement a perçu, sur une somme de 600 Fr léguée pour des messes, « la modeste droit de soixante francs moins quelques centimes. Le pouvait-il ? ».
1852
- 24 janvier, lettre de M. GOUBANT au vicaire général : « J’aime à croire… que M. ROUSSEL décidera sans difficulté que M. le receveur est dans l’erreur et qu’il doit rendre en faveur des défunts la somme de 59,75 Fr qu’il a prise à tort ».
- 13 juin, lettre de M. GOUBANT au vicaire général : « Nous n’avons plus qu’une chose qui retarde les travaux de notre église : c’est le manque d’espèces… Le côté endommagé de notre église menace de plus en plus ruine : il y a vraiment du danger ».
- 27 octobre, lettre de M. GOUBANT qui informe l’évêque que, sous peu de jours, le mur de l’église qui menaçait ruine sera entièrement reconstruit et demande s’il ne serait pas préférable, au lieu de placer au milieu de l’autel rebâti les armes du seigneur de Rochequairie, d’y mettre « un signe plus religieux ».
10 août, lettre de M. BOUANCHAUD qui demande à l’évêque la date à laquelle il souhaite venir visiter la chapelle de La Tulévrière.
1851
28 décembre, lettre de M. GOUBANT, curé, qui informe l’évêque que le receveur de l’Enregistrement a perçu, sur une somme de 600 Fr léguée pour des messes, « la modeste droit de soixante francs moins quelques centimes. Le pouvait-il ? ».
1852
- 24 janvier, lettre de M. GOUBANT au vicaire général : « J’aime à croire… que M. ROUSSEL décidera sans difficulté que M. le receveur est dans l’erreur et qu’il doit rendre en faveur des défunts la somme de 59,75 Fr qu’il a prise à tort ».
- 13 juin, lettre de M. GOUBANT au vicaire général : « Nous n’avons plus qu’une chose qui retarde les travaux de notre église : c’est le manque d’espèces… Le côté endommagé de notre église menace de plus en plus ruine : il y a vraiment du danger ».
- 27 octobre, lettre de M. GOUBANT qui informe l’évêque que, sous peu de jours, le mur de l’église qui menaçait ruine sera entièrement reconstruit et demande s’il ne serait pas préférable, au lieu de placer au milieu de l’autel rebâti les armes du seigneur de Rochequairie, d’y mettre « un signe plus religieux ».