Document d'archives : 1567-1590

Contenu :

Accords, transactions, partages, conventions, etc. entre : les héritiers de noble Benoît Leroy, seigneur de Fléchières, vivant receveur pour le Roi en Beaujolais, au sujet de son hoirie et des comptes de la tutelle de Louis Leroy, son fils, et de demoiselle Anne Gaspard, sa femme ; Claude de Montfouilloux, laboureur, demandeur en lettres de sauvegarde, d'une part, et Michelette Dufiert, veuve d'Antoine Desmonts, laboureur de Vernaison, défenderesse et opposante, d'autre part, au sujet du testament de Hugues Dufiert ; Claude Moreau, trésorier de France à Lyon, créancier de feu noble François de Chalvet, seigneur du Fréluc, Trizac et Cheyrouze, en Haute-Auvergne, aussi trésorier de France, de la somme de 8,475 livres, d'une part, et dame Ysabeau Cey, veuve dudit seigneur du Fréluc, d'autre part, au sujet du payement de ladite somme ; les créanciers de feu Jean Puget, marchand drapier, citoyen de Lyon, et Françoise Fradin, sa veuve, tutrice de leurs enfants, au sujet de la succession de Jean Puget ; Catherine de Roussy, fille de feu Gabriel de Roussy, « contrerooleur des deniers communs de la ville de Lyon et des réparations d'icelle, sa fille unicque et de feue Clémence Dufour, sa première femme, » d'une part, et « damoyselle Marguerite Sève, sa seconde femme, » ses héritières par moitié, au sujet de la succession de Roussy ; Messire Philibert-Philippe de Saint-André et de Beaufort, chevalier de l'ordre du Roi, seigneur dudit lieu de Beaufort et de Servières « en Roargues » (Rouergue), et dame Jeanne de Thezan, femme de Messire Vital Izarn, chevalier de l'ordre du Roi, seigneur de Fraissinet et de..., au sujet des redevances contestées sur la vente à grâce de rachat pour neuf ans, faite par ledit seigneur de Saint-André à ladite dame de Thezan ; Michel-Antoine de Saluces, sieur de la Mante, chevalier de l'ordre du Roi, et sieur « Luc-Antoine de Muratori et compaignons, de Lyon, » au sujet d'une somme de 2,271 écus et 1 tiers d'écu d'or sol que ledit sieur de la Mante avait été condamné à payer auxdits de Muratori et compagnie, par arrêt du parlement de Dauphiné ; noble Antoine Scarron, bourgeois de Lyon, et demoiselle Catherine David, sa femme, fille et héritière de feu Jacques David, d'une part, et Messire Pierre Scarron, trésorier général de France à Lyon, et demoiselle Françoise David, sa femme, d'autre part, au sujet de l'hoirie de Jacques David ; le même Pierre Scarron, d'une part, et André Puys, Maurice de Chastillon et autres défendeurs, d'autre part, au sujet des limites du « lieu et tènement de Tunes (alias Thunes), situé en ceste ville de Lyon, près et audessus du quartier appelé de Bourgneuf, » que ledit Scarron avait acquis « par arrest de Nosseigneurs du Grand Conseil. »

Cote :

1E2244

Où consulter le document :

Archives départementales du Rhône et de la métropole de Lyon

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