Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Chantonnay reçue à l'évêché entre 1852 et 1853.

Contenu :

1852
- 9 février, lettre de M. du TRESSAY qui se défend auprès de l’évêque des accusations portées contre lui au sujet de la sonnerie imposant la fermeture des auberges (vues 18-19).
-Lettre de M. du TRESSAY à l’évêque à propos d’un litige avec l’instituteur laïc de Chantonnay (vues 20-21). 
- 26 mars, lettre de M. du TRESSAY à l’évêque, le recteur : « nous a envoyé un jeune homme de vingt-et-un ans précédemment instituteur à Saint André-Treize-Voies ».
- 17 mai, lettre de M. du TRESSAY qui relate quelques détails de la retraite de Jubilé.
- 19 juillet, lettre de M. du TRESSAY informant l’évêque d’un scandale dans sa paroisse en rapport avec la conduite de Mlle de GLATIGNY, directrice de la poste.
- 19 juillet, lettre de M. du TRESSAY à l’évêque au sujet d’un projet de stalles étudié par M. CHAPEAU (vues 30-31).
- 19 juillet, lettre de M. du TRESSAY à l’évêque à propos de Mlle de GLATIGNY : « On assume qu’il est reproché à la directrice sa dureté envers les employés et l’inconvenance qu’il y a pour elle à laisser son lit dans son bureau […] Dieu fasse la grâce que Mlle de GLATIGNY soit bien remplacée ».

1853
- 4 mars, lettre de M. du TRESSAY à l’évêque : « Je ne puis vous laisser ignorer, Monseigneur, les chagrins que j’ai eu à dévorer dans ces dernières semaines. Les imprudences de Jonathan ont fait le sujet de toutes les conversations et la religion a encore une fois été outragée » (vues 35-36).
- 11 juin, lettre de M. du TRESSAY à l’évêque au sujet d’une impolitesse d’un paroissien faite à son encontre engendrée par le conflit existant entre les curés de Chantonnay et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault.
- 11 juin, lettre du curé au ministre de l’Intérieur qui relate un trouble causé par des paroissiens partisans de l’empereur lors de la visite de l’évêque.
- 13 juin, lettre de M. du TRESSAY à l’évêque au sujet de la lettre envoyée au ministre de l’Intérieur : « Quelques confrères à qui je l’ai montrée, l’ont trouvée un peu trop forte » (vue 42-43).

Archives départementales de la Vendée

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