La "mémé" avait pour responsabilité de conserver certaines traditions. Parfois cela se passait de mère à fille ou à belle-fille. M. Gipoulou note que certaines choses se transmettent encore, comme la langue, que ses petits-enfants connaissent, sans toutefois la parler. Il mentionne Radio 4 et une émission en occitan de Pierre Boissière. Il se dit plus proche de ce "patois" là que de celui de Monpazier, différent donc de Monflanquin. Avant d'entrer à l'école, M. Gipoulou ne parlait pas français et il n'était pas le seul dans ce cas.