Document d'archives : Correspondance de la paroisse de Rocheservière reçue à l'évêché en mars 1862.

Contenu :

1862
- 3 mars, lettre du maire qui transmet à l’évêque le Mémoire contre l’architecte et l’entrepreneur de l’église et une copie de l’arrêté rendu par le conseil de préfecture sur les instances de la fabrique (vues 47-48).
- 18 mars, copie d’une lettre du préfet au président du conseil de fabrique relative aux affaires en cours contre l’architecte, l’entrepreneur et l’ancien trésorier « je vous prie de les accélérer autant que possible ».
- 18 mars, lettre de M. ROUSTEAU qui donne à l’évêque copie de la lettre du préfet et propose de la faire parvenir ensuite seulement au président du conseil de fabrique.
- 22 mars, lettre du maire qui transmet à l’évêque une lettre remise par le président du conseil de fabrique et qui demande son avis au sujet de « la demande du créancier RICHARD », banquier à Nantes, avant de prendre toute décision.
- 24 mars, lettre de M. BOBIN, avoué de M. BOSSIS, à M. BOSSIS : « Occupez-vous donc […] à faire finir cette affaire : vous comprenez vous-même qu’elle ne peut traîner indéfiniment ».
- 24 mars, réponse de l’évêque à la lettre du maire du 22 mars 1862 : « Ma médiation n’aura son effet qu’autant qu’un compromis préalable […] m’aura investi du droit de régler l’affaire ».
- 25 mars, lettre de M. ROUSTEAU qui fait savoir à l’évêque que M. BOSSIS essaie d’obtenir un nouveau sursis « afin de donner à Votre Grandeur le temps nécessaire pour amener une conciliation ».
- 26 mars, lettre de l’évêque à M. ROUSTEAU : « Dans la situation de l’affaire, il me paraît difficile d’empêcher le procès ».
- 26 mars, lettre de M. BOSSIS qui demande au curé de faire savoir à l’évêque qu’il tient essentiellement à ce que son affaire avec la fabrique soit soumise à sa décision.
- 29 mars, lettre de M. BOSSIS qui remercie l’évêque de l’empressement qu’il manifeste « au sujet d’une solution amiable de mon différend avec la fabrique » (vue 62).

Archives départementales de la Vendée

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