Abbaye de Bonnevaux : visite et arpentement des bois de l'abbaye pour le règlement de leurs coupes en bois de 10 et de 16 ans (1732) ; procès-verbaux de constatations de dégâts commis dans les bois de l'abbaye ; visite des bois de la métairie de la Vieille-Grange près de Marçay ; demande faite par les religieux de couper leur quart en réserve et les baliveaux au-dessus de quarante ans pour en employer le prix aux réparations de l'église, des bâtiments claustraux et d'un moulin (1770) ; mainlevée de la saisie pratiquée sur l'argenterie des religieux et décharge de l'amende de 1 000 livres, qui leur aurait été infligée pour avoir coupé des bois sans permission (1772) ; devis des réparations à faire à l'abbaye : dans l'église on ouvrira quatre fenêtres là où autrefois il y avait des vitraux que l'on a remplacés par de la maçonnerie, on refera le carrelage, on posera des bancs en bois le long des murs, on peindra les deux autels qui sont dans la nef de chaque côté de la porte d'entrée, les boiseries et sculptures, on repeindra les deux statues qui sont à l'extrémité du grand autel, à savoir : Saint Bernard en beau gris blanc et Saint Benoît en couleur noire luisante, on repeindra les tableaux des autels, et il sera aussi fait pour les chapelles un tableau de la Vierge et de l'enfant Jésus, et un tableau représentant l'image de tous les saints (1777). Abbaye du Breuil-Herbault : requête de M. de la Rochefoucauld, abbé du Breuil-Herbault, demandant à disposer du quart en réserve pour l'employer aux réparations de l'abbaye (1784) ; arpentement des bois de l'abbaye. (Au dos de cet acte est une note sur les bois de l'abbaye de l'Isle-Chauvet, dont est abbé le sieur de Cacqueray, laquelle était tenue par des Camaldules, depuis peu supprimés, et que le chapitre de Luçon voulait faire réunir à sa mense.)