Document d'archives : Correspondance de la paroisse du Boupère reçue à l'évêché entre 1890 et 1902.
Contenu :
1890
- 12 mai, lettre de M. LEVEQUE à l’évêque : « Les travaux de reconstruction du clocher et de réparation de l’église du Boupère vont bien. M. de BAGNEUX m’a envoyé hier le modèle du grand autel qu’il se propose de faire exécuter » (vues 24-25).
- 26 mai, procès-verbal d’érection du chemin de croix dans la chapelle du village de la Davière.
- 24 août, délibération du conseil de fabrique qui accepte le legs de 2000 Fr fait par Victoire SOUCHET au Bureau de bienfaisance, à charge de deux messes et un service par an ; suivie de 2 lettres de M. LEVEQUE, l’une adressée à l’évêque et l’autre au vicaire général relatives aux pièces justificatives relatives au legs, août 1890.
1891
21 juin, procès-verbal d’érection du chemin de croix dans l’église.
1894
1er avril, délibération du conseil de fabrique qui accepte les plans de l’architecte LIBAUDIERE pour l’établissement d’un autel à saint Roch, une sainte table, des stalles dans le chœur et la reconstruction du presbytère.
1895
- 6 janvier, délibération du conseil de fabrique qui accepte la constitution d’une rente de 72 Fr au profit de la fabrique par M. de BAGNEUX, à charge de 12 messes par an.
- 17 janvier, contrat entre le trésorier de la fabrique et M. de BAGNEUX relatif à une rente pour des messes chantées.
1902
- 13 juin, lettre de la préfecture demandant à l’évêque s’il est entré en possession du legs de Mme RIGAUDEAU au profit de la fabrique.
- 23 juin, lettre de M. FUZILLIER renseignant l’évêque à propos du legs de Mme RIGAUDEAU femme JEANNEAU ; joint un extrait du registre des délibérations du 30 juillet 1866.
- 12 novembre, lettre de M. FUZILLIER à l’évêque au sujet d’un incident survenu à l’occasion de l’attribution des places dans l’église aux filles de l’école publique.
- 8 décembre, lettre de protestation adressée au ministre de l’Intérieur par M. FUZILLIER, curé, dont le traitement a été supprimé parce qu’il a « fait chanter des cantiques d’une allure politique nettement accusée… qui constituent notamment un appel non dissimulé à la lutte et à la résistance contre la loi ».
- 12 mai, lettre de M. LEVEQUE à l’évêque : « Les travaux de reconstruction du clocher et de réparation de l’église du Boupère vont bien. M. de BAGNEUX m’a envoyé hier le modèle du grand autel qu’il se propose de faire exécuter » (vues 24-25).
- 26 mai, procès-verbal d’érection du chemin de croix dans la chapelle du village de la Davière.
- 24 août, délibération du conseil de fabrique qui accepte le legs de 2000 Fr fait par Victoire SOUCHET au Bureau de bienfaisance, à charge de deux messes et un service par an ; suivie de 2 lettres de M. LEVEQUE, l’une adressée à l’évêque et l’autre au vicaire général relatives aux pièces justificatives relatives au legs, août 1890.
1891
21 juin, procès-verbal d’érection du chemin de croix dans l’église.
1894
1er avril, délibération du conseil de fabrique qui accepte les plans de l’architecte LIBAUDIERE pour l’établissement d’un autel à saint Roch, une sainte table, des stalles dans le chœur et la reconstruction du presbytère.
1895
- 6 janvier, délibération du conseil de fabrique qui accepte la constitution d’une rente de 72 Fr au profit de la fabrique par M. de BAGNEUX, à charge de 12 messes par an.
- 17 janvier, contrat entre le trésorier de la fabrique et M. de BAGNEUX relatif à une rente pour des messes chantées.
1902
- 13 juin, lettre de la préfecture demandant à l’évêque s’il est entré en possession du legs de Mme RIGAUDEAU au profit de la fabrique.
- 23 juin, lettre de M. FUZILLIER renseignant l’évêque à propos du legs de Mme RIGAUDEAU femme JEANNEAU ; joint un extrait du registre des délibérations du 30 juillet 1866.
- 12 novembre, lettre de M. FUZILLIER à l’évêque au sujet d’un incident survenu à l’occasion de l’attribution des places dans l’église aux filles de l’école publique.
- 8 décembre, lettre de protestation adressée au ministre de l’Intérieur par M. FUZILLIER, curé, dont le traitement a été supprimé parce qu’il a « fait chanter des cantiques d’une allure politique nettement accusée… qui constituent notamment un appel non dissimulé à la lutte et à la résistance contre la loi ».