Ce fonds émane pour sa plus grande part du secrétariat général du gouvernement général de l'Algérie et des services qui lui étaient directement rattachés comme le bureau du personnel ou l'inspection générale des services civils. Dans les années 1950, le secrétaire général, véritable pivot de l'administration centrale de l'Algérie, se vit adjoindre un puis deux secrétaires généraux adjoints dont l'un était plus particulièrement chargé des affaires économiques. D'autres services administratifs sont également présents dans ce fonds comme le service de l'aryanisation économique (30G) et le contrôle général des services de police et de sûreté (7G).