Reconnaissance d'une somme due par Lucie, fille de feu Jobelet, barbier du duc Eudes IV, femme de Pierre Jean, fils de Simonet, barbier du duc. — Vente de chevrons, ""de courbes, de jarretiers, de broingens, de bochaux, de seulles, de frestes, surfrestes, brossures, croisées"", et autres bois de charpente. — Quittance donnée par Robin de Froit-Espiez, recteur de la confrérie des vignerons de Dijon. — Achat par Guillaume Barbier d'une veste de biffe, moyennant quarante sols. — Règlement du compte des amendes adjugées par la cour de la Mairie de Dijon, entre Eudes Rossignol, mayeur sortant, et cinq sergents de la commune. — Amodiation par les religieuses de Larrey de deux battoirs du moulin de Bruant. —Restitution par l'ancien maire de Dijon d'une cotte ""en camelin perscoley"", qu'il tenait en gage. — Transaction entre Barthélemy de Vaulx, religieux de Saint-Bénigne, recteur de l'hôpital de la Chapelle-aux-Riches , et Odet le Camus, au sujet de cens dus sur une maison, rue de la Porte-au-Comte, à Dijon. — Achat, moyennant 8 livres 10 sols, chez un fripier, d'une tunique, d'un surtout, d'un capuchon et d'un manteau. — Acte de l'injonction verbale faite par Eudes Rossignol à Hugues Arnoux, de ne point toucher à ce qu'il a fait aux Echaillons, et de la réponse de celui-ci de tout ""despécier"" si on ne le paye.— Vente de trois quarteranches de fèves au prix de 12 sols, de deux quarteranches de blé de deux grains à 26 sols tournois. — Refus du maire de Dijon au procureur de l'évêque de Langres, de lui rendre les biens de deux clercs pour la raison qu'ils étaient au duc. — Acte par lequel Eudes Rossignol, maire de Dijon, interpelle Huguette de Fixin, fille publique, de déclarer si elle se louait de Girard de Saint-Julien, emprisonné pour l'avoir fait fouler aux pieds de son cheval, et sur sa réponse qu'elle s'en louait, sauf des despens que lui avait coûté le barbier ""qui l'avait garie de sa plaie"", elle demandait sa mise en liberté; le maire, ouï le barbier, qui répond de la santé d'Huguette, met Girard en otage. — Saisie entre les mains du maire de Dijon, du cheval d'un faux-monnayeur, que les maîtres des ports et passages avaient poursuivi de chaude-chasse hors du royaume. — Obligation de 16 florins au profit de Hugues de Lavaise, seigneur de Sennecey. — Livraison de meubles, parmi lesquels trois tonneaux contenant 9 muids, un tonneau contenant un demi-muid et une cuve de 5 muids. — Convention par laquelle Arviet le Chatré de Larrey s'oblige à supporter toutes les eaux de la maison Jeannette Bouhert, située audit Larrey. — Amodiation de la moitié de l'émolument du criage des vins de Dijon. — Contrat d'apprentissage entre Alardet, fils de Jean de Fauvernay, médecin, et Pierre de Dijon, médecin, par lequel, en retour de trois années de service qu'Alardet lui consacre, Pierre promet de le nourrir, de le coucher, de l'entretenir de chaussures et lui apprendre l'art de la médecine. — Contrat d'association pour l'exploitation des moulins du Pont-d'Ouche à Dijon, amodiés par l'abbé de Saint-Bénigne pour six ans, moyennant 150 émines de froment et 25 livres de cire par an. — Bail à culture d'une pièce de vigne sur Dijon, par le procureur de Jean de Vergy, chevalier, sénéchal de Bourgogne. — Autre semblable par frère Henry, recteur de l'hôpital du Saint-Esprit de Dijon et de la confrérie des clercs de la même ville. — Amodiation faite par Jean Paimant de Dijon, clerc, pour le temps de carême, de tout l'émolument de la boîte Notre-Dame de Roncevaux, moyennant 20 sols.