- Ventes :
par Michel-Louis Gasteau de la Flocellière, à Pierre Goupilleau, chirurgien juré, d'un pré appelé le Pré Rouchère, près le bourg d'Olonne, moyennant 300 livres (11 janvier 1769, f° 6) ;
par Basile Nicollon, conseiller du Roi près l'amirauté des Sables-d'Olonne, et Françoise-Rose Guilbaud, son épouse, à Charles Bouard, arquebusier, d'un terrain vague sis aux Sables-d'Olonne, moyennant 90 livres (18 mai 1769, f° 10, v°) ;
par Jean Auguste Dorion, sieur de la Grouinière, sénéchal des baronnies de Brandois, la Mothe-Achard et châtellenie de la Maurière, comme fondé de procuration, 1° d'Alexis Dubois, chevalier, vicomte d'Auzy, conseiller du Roi au Parlement de Paris, héritier sous bénéfice d'inventaire de Pierre-Alexis Dubois, président honoraire au Parlement, son père, 2° et de Louis Dubois, chevalier, vicomte de Courval, conseiller du Roi au Parlement de Paris, légataire de la portion héréditaire dudit feu président Dubois, son père, tous les deux frères, à Alexandre Gouin, cabaretier, et son épouse, d'une maison, ci-devant louée pour servir de caserne, et ses dépendances, aux Sables-d'Olonne, moyennant la rente de 100 livres (15 avril 1769, f° 12, v°) ;
par René Leblanc, ancien capitaine au régiment de la couronne, faisant tant pour lui que pour Marie Marguerite Leblanc, sa soeur, fille mineure, à Louise Copegasche, femme de Joachim Libaudière, marchand, faisant tant pour elle que pour son mari, de divers immeubles au bourg de la Chaume, et de droits de complant et terrage, moyennant 1258 livres (16 mars 1768, f° 14, v°) ;
par Marie Anne Favre, veuve de Jean-Louis Blay, procureur au présidial de Poitiers, à Jean Paponnet, marchand, et son épouse, d'une petite maison sise aux Sables-d'Olonne, moyennant 800 livres, et de plusieurs boisselées de terre, moyennant 1.000 livres (6 juin 1769, f° 18, v°).