Document d'archives : 1627-1629

Contenu :

Ventes faites au profit de noble Antoine de Sarron, écuyer, seigneur de Bacot et Saint-Christophe-la-Montagne (il avait épousé Madeleine, fille de Jean de Testenoire), par Claude, fils de feu Catherin des Raisses, et Claude, fils de feu Hugues Thomas, « pariers et consorts, » marchands de la paroisse de Matour, moyennant le prix de 110 livres et de 10 livres d'étrennes, d'un pré et d'un coin de terre appelé « pré Pierre, aultrement du Bessey ; » par les mêmes et Dimanche des Aigay, leur mère, veuve desdits des Raisses et Thomas, pour le prix de 1,165 livres et 12 livres d'étrennes, d'une maison couverte en tuiles creuses, grange, étables, cour, aisances, jardin, chenevier, etc., au lieu de Chevenettes (aujourd'hui Chevanettes) ; par Claude Thomas, Dimanche des Aigay, sa mère, et Claude, fils de feu Catherin des Raisses, son frère utérin, pour le prix de 50 livres, d'une terre située à Saint-Christophe au mas de Chevanettes ; d'une autre terre audit lieu, appelée « les Grandes-Bruyères ; » par Siméon de Chagnye (aujourd'hui Chagny), tisserand, moyennant le prix de 10 livres, d'un coin de jardin, situé au mas de Laval, appelé « la Coste ; » par Jean, fils de feu Antoine Chevanettes, laboureur, pour le prix de « six vingt une livres, » d'un cellier couvert en paille, etc., situé au mas des Chevanettes ; d'une portion de pré appelé « Pré Pierre ; » d'une portion de terre appelée « la Grande Bruyère ; » d'une autre terre appelée « Champ Martin, » et d'une verchère appelée de même ; par Lancelot Bruaillon et Dimanche Chevenettes, sa femme, gens de labeur, pour le prix de 243 livres 10 sous, d'une verchère située au mas de Chevanettes, appelée « la Rouille ; » d'un pré situé « en Pré Pierre, » d'une autre terre appelée « Champ Martin, etc. ; » par maître François Desbrosses, praticien, moyennant le prix de 60 livres, d'un pré avec une terre et un bois taillis joints ensemble, appelés « la Reclaine ; » par Benoît de la Rochette et Benoît Chaneye, laboureurs, pour le prix de 4 livres tournois, de « leur part et portion ès-bois de Roche » ; par Georges Mathieu, dit Simon, et Françoise Roze, sa femme, gens de labeur, pour le prix de 200 livres, d'une portion de leur pré, situé au mas Simon, appelé « le Grand Pré. »

Cote :

1E2173

Où consulter le document :

Archives départementales du Rhône et de la métropole de Lyon

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