Document d'archives : 1634-1636

Contenu :

Ventes faites au profit de Catherin et Claude des Raisses, frères, marchands, de la paroisse de Saint-Christophe-la-Montagne, par Claude Aladenize, laboureur, de Saint-Bonnet-des-Bruyères, au village de Villemartin, pour le prix de 6 livres tournois et 2 mesures de blé-froment pour étrennes, de la moitié d'un bois indivis entre les vendeurs et les habitants de Villemartin, appelé « le Bois de Charoges (Charuge) » et « Feuillambert ; » (Ce titre paraît être étranger à la famille de Sarron) ; par Jeanne Gathi, veuve de Jean Chanel, de Saint-Christophe, au profit d'Antoine de Sarron, seigneur de Bacot, pour le prix de 84 livres tournois et, pour étrennes, 2 mesures de froment, d'un pré appelé « des Saignes ; » par Méry, de Chagnie (Chagny), marchand à Saint Christophe, à présent demeurant à Matour, et Jacqueline Anymé, sa femme, d'un pré situé au mas de Laval, appelé « en Grand Saigne, » et d'un coin de verchère, au même lieu, pour le prix de 100 livres et 4 mesures de froment ; par Vincent Lardit, homme de labeur, résidant à Saint-Bonnet, d'un pré « naguères acquis par le vendeur » de Claude Morin, appelé « la Mollière de la Presle, » pour le prix de 12 livres ; par Georges Mathieu, dit Simon, et Françoise Roze, sa femme, d'un pré situé au mas Simon, appelé « du Vernay ; » d'une verchère audit lieu, appelé « Préquelin ; » d'une terre au même endroit, appelée « le Crot du Tremblay, » et d'une autre terre encore audit lieu, appelée « la Brosse-Laurant, » pour le prix de 150 livres, 6 livres et 12 mesures de seigle, mesure de Beaujeu, pour étrennes ; par Jean Grison, laboureur, et Étiennette Viollet, sa femme, d'un pré situé à Saint-Christophe, appelé « le Pré de Bruilly, » et d'une terre appelée « des Trèzes, » pour le prix de 210 livres et, pour étrennes « un poisson vin cléret et 6 mesures bled soigle loyale et marchande, mesure de Beaujeu ; » par Georges de la Rochette, tisserand, de Saint-Christophe, de la moitié du moulin Champaignon, situé sur la rivière du Pillot (aujourd'hui Pelot), indivis avec Étienne Thévenet et Jean Manaisard ; de la moitié du battoir sous ledit moulin, la moitié de l'écluse et la moitié de la propriété dudit moulin, moyennant le prix de 15 livres ; par Antoine Simon, laboureur, et Claudine Simon, sa femme, d'une terre située au mas Simon, appelée « des Rozettes, » et de leur part d'une autre terre appelée « le Rambutin, » pour le prix de 20 livres.

Cote :

1E2175

Où consulter le document :

Archives départementales du Rhône et de la métropole de Lyon

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